Après avoir fermé ses centres de services, ses refuges et ses hébergements, la SEPAQ a finalement décidé d’interdire l’accès à son territoire, et ce, à partir de samedi matin.
« Dans le contexte de l’évolution de la COVID-19, nous voulons laisser le moins d’employés possibles sur le territoire, soit uniquement les employés prioritaires et indispensables », indique Simon Boivin, porte-parole de la Société des établissements de plein air du Québec (SEPAQ).
Au début de la semaine, la SEPAQ avait décidé de fermer ses infrastructures, mais de laisser le territoire accessible. « Si vous venez faire de la randonnée avec vos propres raquettes, il n’y a pas de problème », avait alors fait savoir M. Boivin.
Certaines activités à risques étaient prohibées, comme l’escalade de glace. Les pistes de ski de fond n’étaient pas entretenues. Il restait toutefois des kilomètres et des kilomètres de sentiers de raquettes pour les randonneurs qui avaient besoin d’un petit bol d’air pour passer à travers la crise.
« On a constaté que laisser l’accès au territoire avait mené à un grand achalandage dans certains parcs, a indiqué Simon Boivin, vendredi.
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